Polititique RDC: Jean-Lucien Bussa Tongba, artisan des réformes et stratégies indéniables pour la relance des entreprises du portefeuille de l’Etat
4 août 2025Loyal envers le Chef de l’Etat et réconforté par les réformes indéniables apportées dans les secteurs placés sous sa gestion, l’actuel ministre du Portefeuille, Jean-Lucien Bussa est victime d’une campagne de diabolisation, œuvre des politiciens véreux, des ennemis du développement de la République. Comme à chaque annonce de la sortie du nouveau Gouvernement. Son maintien ininterrompu dans les différents Gouvernements qui se sont succédé au pays lui attire l’antipathie de ces aigris au service des officines politiques obscures.
Ces ennemis de la République croient que la reconduction du Ministre Bussa est fortuite ignorant que c’est sur base d’un profil bien détaillé que le Président de la République désigne tout membre au sein du Gouvernement-partant même du pouvoir discrétionnaire dont il dispose. Le Président de la République nomme qui il veut, quand il veut et où il veut. Il ressort que Jean Lucien Bussa reflète le modèle d’homme politique loyal, intègre, compétent, pragmatique qui se démarque par son expertise et son abnégation pour la République. La loyauté au Président de la République et les réformes indéniables ont permis au patron du regroupement politique «Coalition des Démocrates», CODE de maintenir la confiance de la plus haute hiérarchie du pays.
Les ennemis du développement du pays s’acharnent contre le Ministre Jean-Lucien Bussa alors qu’il est concentré sur un dossier très saillant en rapport avec la matérialisation de la vision du Chef de l’Etat en ce qui concerne le secteur placé sous sa gestion. Très récemment, son Excellence Felix Antoine Tshisekedi Tshlombo a demandé au ministre du Portefeuille de prendre toutes les mesures nécessaires en vue de la redynamisation et de la valorisation effective de l’actionnariat public dans les entreprises du Portefeuille de l’Etat. Et sur ce point, Jean-Lucien Bussa, œuvre, sans relâche, pour la restauration économique de l’Etat et le renforcement de sa capacité à mobiliser les ressources internes pour financer les priorités nationales. Stimuler l’investissement public et impulser une croissance inclusive et durable tel qu’exigé par le Chef de l’Etat.


Pour ce qui concerne les réformes, ces dernières sont irréfutables. Point n’est besoin d’y revenir. Pionnier de la gestion orthodoxe des entreprises publiques, Jean-Lucien Bussa a lui-même sollicité le concours de l’Inspection Générale des Finances pour un audit externe de la gestion des sociétés de l’Etat. Cette collaboration avec ce service spécialisé dans la patrouille financière traduit la volonté manifeste du ministre du Portefeuille d’améliorer la gouvernance financière des sociétés de l’Etat. Jean-Lucien Bussa Tongba est, sans nul doute, l’artisan des réformes et des stratégies indéniables pour la relance et ou mieux pour le redressement des entreprises du Portefeuille de l’Etat. Ce qui lui attire l’antipathie de certains politiciens, c’est tout simplement, le fait d’incarner la vision du Président de la République et sa ferme détermination à accomplir, à la lettre, la mission lui confiée par celui-ci, celle de faire des entreprises du portefeuille de l’Etat le véritable boulevard du développement économique du pays. Et ce, à travers une série d’actions courageuses dont certaines menacent les intérêts de ceux qui s’enrichissaient sur le dos des sociétés de l’Etat. Parmi les reformes que Bussa a apportées au portefeuille, l’opinion retient le plafonnement des avantages des mandataires publics, leur nomination sur base d’un profil requis, le strict respect des clauses contenues dans le contrat de mandat pour les mandataires publics, l’imposition d’une gouvernance financière orthodoxe des entreprises publiques et une gestion basée sur les résultats. Par ailleurs, le ministre Jean-Lucien Bussa a insisté sur le renforcement du contrôle et de l’audit aussi bien interne qu’extrême de la gestion financière des entreprises du Portefeuille.
Des fausses accusations contre le Ministre Bussa
Jean-Lucien Bussa Tongba a toujours prôné l’excellence. Il est le tout premier ministre du Portefeuille à avoir proposé que la nomination des mandataires publics soit faite sur base d’un profil bien défini tenant compte des compétences particulières et spécifiques. Il s’agit par exemple des qualifications académiques, l’esprit stratégique, les valeurs morales et éthiques, l’expérience en gestion des finances et audit, la connaissance des lois et la gouvernance des entreprises, l’ouverture internationale et l’expertise professionnelle. Prêchant toujours par les actes, le patron du Portefeuille tient énormément compte de ce critérium dans le choix de ses collaborateurs même au niveau de son Cabinet de travail.

En véritable nationaliste, il s’est choisi un entourage hétérogène composé des savants sélectionnés sur base des critères de compétitivité. Ses collaborateurs de premier rang sont issus de différentes provinces du pays. L’administration de son Cabinet au Portefeuille est chapeautée par la professeure Youyou Baende secondé par le professeur Henri Limbaka, Direcaba, tous enseignants en faculté des sciences économiques à l’Université de Kinshasa. Outre ces deux érudits qui ne font d’ailleurs pas partie de sa famille politique encore moins biologique, d’autres têtes savantes prestent au Cabinet du Ministre du Portefeuille. Il s’agit par exemple du professeur William Bolima (originaire de la Tshopo), des doctorants Bien Aimé PUKUMUNA et Glodi LONIA et bien d’autres experts originaires de quatre espaces linguistiques.
Le poste de Conseiller financier faussement attribué à Naomie Bussa est occupé par Henri Kazongo qui n’est pas membre du clan Bussa. Jérémie Kalala est le Conseiller juridique ; Valerie Mabi et bien d’autres compatriotes non originaires de l’espace Equateur font partie des collaborateurs de premier rang du Ministre du Portefeuille. Bref, l’entourage de Jean-Lucien Bussa tient compte de la représentativité de quatre groupes linguistiques de la RDC. Contrairement à ce qui est publié çà et là par des aigris, aucun enfant du Ministre n’a la mainmise sur les finances du Portefeuille. Et puis, peut-on trouver un seul cabinet d’un ministre en RDC qui ne compte aucun membre de sa famille!
Les ennemis du digne fils de la République font donc de l’amalgame, en citant même les proches du ministre occupant des postes électifs. La loi électorale n’interdit pas à tout candidat de se choisir librement des suppléants. Jean-Lucien Bussa, comme tous les autres candidats, a battu campagne, et les électeurs lui ont fait confiance. Pourquoi le condamner si un membre de sa famille est candidat suppléant ? Si des proches sont influents dans la base électorale, pourquoi ne pas les associer lorsqu’il s’agit d’une compétition électorale ?
Vianney Mutulirano
Florian Fimbo
Ruth Mwatchia
Christel Ebenze


