Au perchoir de l’Assemblée nationale, le Député Saidi Balikwisha etale les faiblesses de l’Etat de Siège et plaide pour l’équipement des forces loyalistes pour la sécurité des populations
4 octobre 2025
Des prorogations répétitives de l’état de siège dans les provinces de l’Ituri et du Nord-Kivu sans qu’il y ait des résultats probants sur le terrain, trois ans après sa proclamation par le Président de la République. Des inquiétudes fusent de partout. La dernière en date est celle de l’honorable Saidi Balikwisha, élu du territoire de Beni.
« Je ne vois pas le sens de maintenir l’état de siege d’autant plus qu’il a été instauré comme une mesure spéciale pour mettre fin à la persotence de l’insécurité qui n’a trop durée. Seulement dans un intervalle du 10 juillet au 30 Août 2025 plus de 200 personnes ont été sauvagement tués dans une zones sous état de siège par l’ennemi en toute quiétude », ce tableau sombre a été peint par le Député National Saidi Balikwisha qui vient franchement des vancances parlementaire dans le Beni-Lubero. Une thérapie qui a échoué pendant un moment donné, les traitants sont obligés dans la changer, conseil l’homme du terrain l’Honorable Saidi Bwlikwisha qui souhaite voir l’état de siège être changé le plus urgemment possible.
Intervenant ce jeudi 02 Octobre 2025 lors de l’examen du projet de loi portant prorogation de l’état de siège, Saidi Balikwisha élu du territoire de Beni dit que l’tat de siège a échoué. Il doit être levé purement et simplement, la population est tuée en grande échelle sous état de siège, nous sommes fatigué des prorogations à prorogations, a fait savoir le meilleur élu de la République aux législatives de décembre 2023.
« La ration comme le moyen de transport ne devraient pas manqués à nos vaillants militaires ainsi qu’un equipement adapté aux services de renseignement pour leur efficacité », souligne l’honorable Saidi Balikwisha.
L’élu du territoire de Beni ( Nord-Kivu) a recommandé au gouvernement Congolais de prendre la situation de l’Est du pays comme priorité des priorités. Il est anormale des voir des militaires Congolais sur les lignes de front passés 24 heures sans ration et sans charoi pour s’emouvoir lors des différentes interventions. Des services de renseignements sans équipements nécessaire pour faire bien leur travail, deplore Saidi Balikwisha.
Axel Maliro


